Isabelle Doré, professeure à l’ÉKSAP, a été interviewée par le journal Métro sur les effets potentiels de la fermeture des centres d’entraînement sur la santé mentale.
«Dans l’état des connaissances qu’on a sur la COVID-19, la mesure vise essentiellement à protéger notre santé physique. Ceci étant, oui, ça aura des impacts importants sur notre santé mentale.»
«L’activité physique entraîne entre autres des bienfaits sur les émotions, le bien-être. Par exemple, ça sécrète de l’endorphine qui a pour effet de diminuer le niveau de stress et d’interrompre les pensées négatives.»
«Il est impératif que le gouvernement demeure conscient et préoccupé des bénéfices de la pratique d’activité physique sur la santé mentale de la population. Cette préoccupation devra, je l’espère, se refléter dans les décisions prises à la fin octobre.»
Lisez l’article complet de l’édition du 5 octobre du journal Métro.