Prof. Raynald Bergeron et son équipe viennent de publier un article intitulé Muscle-bone properties after prolonged voluntary wheel running in a mouse model of dominant severe osteogenesis imperfecta dans le Journal of Musculoskeletal and Neuronal Interactions.
L’exercice n’améliore pas la santé musculaire et osseuse dans un modèle murin d’ostéogénèse imparfaite. Contrairement aux effets bénéfiques de l’activité physique chez des humains atteints de la « maladie des os de verre », les bénéfices de l’activité physique volontaire sont limités chez la souris mutante pour le gène responsable de l’expression du collagène de type 1 (Col1A1Jrt\+). Les résultats provenant des laboratoires de Raynald Bergeron et de Louis-Nicolas Veilleux soulignent les limites de l’utilité de ce modèle animal dans l’étude des effets de l’activité physique sur le système musculosquelettique.