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Le taux de survie des enfants atteints d’une leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) atteint près de 90 %. Toutefois, cette survie s’accompagne de plusieurs effets secondaires qui sont liés aux traitements et qui altèrent la qualité de vie des survivants ainsi que leur condition cardiorespiratoire.
Dans une étude menée en deux volets, Maxime Caru, doctorant à l’École de kinésiologie et des sciences de l’activité physique de l’Université de Montréal et au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, a démontré que des survivants de la LLA avaient une capacité cardiorespiratoire de 22 % inférieure à celle d’une cohorte canadienne en santé malgré des niveaux d’activité physique similaires.
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